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 Les polluxeries

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pollux
Yahia
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MessageSujet: Les polluxeries   Les polluxeries Icon_minitimeJeu 4 Oct - 15:42

Un pti poème balterien

De sueur en suaire
de cendre au cendre
quant les fils cachés du démons ce réveil
quant ces filles battent la campagne

deux sueurs en suaire
voile morbide sur un monde
le glossaire du gloissoir en deuil
le mots courage est recouvert d'un linceul

Jamais cheval n'as été si peu fringuant
Jamais la lune n'a versé autant de sang
alors que le reptile se faufile entre les maille du filet
la douce dame pleure ces bien aimé

Que de sueurs et de suaires
Le noir et le blanc ne se marie qu'en gris
grise la souris qui joue avec le chat
grise la toge des enfants de minuit.


A toutes les dames

Il est un temps ou la raison du corps
surpasse le dégout de l'âme
ou un doux parfum ne plais plus
car le corps a faim

je ne suis pas de ceux qui sente le coquelicot
mais bien de ceux qui laisse derrière eux
l'odeur des femmes heureuses
et celle de ces petites ruelles perdue

je ne me lasserai jamais de leur offrir
ce que leur maris trop nanti ne peuvent fournir
ce que tout mendiant peut donner
et que jamais l'argent ne pourra apporter

ainsi damoiselles et donzelles
sachez que pollux sera votre serviteur
contre quelque piécettes
mon Vit vous apportera le bonheur

Penny

On dit que l'argent n'as pas d'odeur
On dit aussi qu'il ne fait en rien le bonheur
moi j'ai la chance de ne pas en avoir
ainsi je sens et je suis heureux

Mais lorsque une jolie piécette tombe dans mon escarcelle
aussi tôt je m'empresse de l'avaler
car je sais que les releveur de taxe vont passer
ainsi quant ma digestion est terminée mon argent est bien prêt

Alors ils sente c'est messieurs bien propre sur eux
que l'argent a une odeur de merde quant il viens des démunis
Qu'ils auront sept ans de bonheur a avoir toucher mon brun
et quant ils râlent je leur répond que c'est pour leur bien

maintenant l'argent ne manque qu'aux pauvre qui n'en on jamais de trop
mais aussi aux riches n'en on jamais assez
moi je suis riche de ma verve
ainsi que de ma verge


Mon Sherry

Au vins et spiritueux
en moi tu laisse un plaisir gracieux
toi je te loue de ton mon cœur
car quant je te consomme je suis dans les fleur

Alcool breuvage divin
qui transforme les moches et les affreuses
en donzelles peut vertueuses
Grace a toi je ne vois ni leur laideur et ne ressent ni leur odeur

Au pinard je t'aime bien
Car quant je fait trop le con
le lendemain je ne me souviens de rien
et dans mes soulographie

je vous le dit je suis ravis
dieu et maitre
sans un sous
tu transforme les caniveau en lit douillet et chaud


Tisane n°15

Au toi breuvage divin
Prière de la dame du matin
Porteur de songe et de révélation
Au dame de la nuit voici ta chanson

De l'esprit de l'eau j'en extrait la pureté
De l'esprit des chants , les meilleur grains du chambellan
De l'esprit du feu, le crachin des salamandres
et de la l'air les vapeur délétère

Alors que l'homme mort attend l'au-delà
Le vin des dieux coulent entre ces lèvres
Le phœnix déploie ces ailes et ramène l'âme errante
et dans un souffle brulant le mourant et vivant

Mais le pèlerin sait que l'eau de la vie
ne se boit pas que quant la mort viens
mais aussi pour donner le courage d'avancer
de donnez la force jusqu'a sa divinité

Oh dame de levant et du couchant
Nous louons ton présent
Oh Souris entre deux mondes
ton nectar ne sera jamais source de honte

Hymne d'un amour impossible

Loin des yeux loin du cœur
mais rien ni fait ce n'est pas une peur
que de savoir que la distance n'y ai pour rien
mais nos regard , le souffle de nos mains
ces petit gestes invisible qui marque nos esprit
et lie nos cœur

Furtivité d'un regard comme une seconde
le bonheur n'est visible que quant il s'enfuis
comme une seconde qui s'écoule et qui rie de te voir vieillir
cela n'est peut être rien mais qui sait
qui sait ce que l'âme ressent

L'amour , la haine quels sentiments si semblable
Je te hais mais je t'aime comment comprendre
Le temps me raconte que tout change
le temps , les saisons , les hommes , les femmes
Changez , se métamorphoser , se déguisez

mentir , fuir et devenir
paraitre , sembler , être
rien n'est simple je me mens pour mieux me protégé
je te ment pour ne pas te blesser
mais qui alors c'est la vérité

nul en ce monde ne peut me prendre ma seul et dernière liberté
celle de mes rêves qui en mon âmes restent secret
libre d'aimer , de hair et de me dire enfin cet vérité qui m'obsède
"Mentir n'est pas un péché mais une voie sombre de la personnalité"

Le vrai don

douce lumière d'un claire de lune
belle clarté d'un regard soutenus
un léger sourire , un frisson
Une soudaine envie de fuir
mais une curiosité titanesque

d'un revers de la main , il dégage sa nuque
d'un revers de la bain il balaie ces premières craintes
une chaleur une douceur, un instant
jamais une seconde fut aussi délicieuse

lentement il effeuille la rose
lentement croquant les belles pommes
il se laisse envahir par ce sentiment
cet force qui le pousse insatiablement

le baiser se faisant plus fort
les yeux fermer refusant de trop voir
ne laissant que le tact guider ses gestes
c'est alors que le mont de venus s'offre a lui

dans ce léger silence de cette lune claire
quant la bouche rencontre le fruit défendu
savourant sont jus comme un vin du meilleur millésime
il la voie s'envoler , il l'entend partir
mais il sait enfin ce que c'est qu'offrir

Collectionneur de perles

Ce n'est pas le nombre qui fait
ce n'est pas la taille de la perle qui as de la valeur
ce n'est pas sont poids ni même sa nacre
non ce n'est que sa rareté

Moi je ne collectionne que certaine perles
celle tirée des larmes , du sang et des rire
ces perles si rare que seul les initiés peuvent les voir, les ramassées
c'est perle si rare que rare sont ceux qui en font des collier

Je les collectionne frénétiquement en espérant jalousement les donnée
les montrés a ceux qui savent les voir
seul dans ce monde triste est froid
seul leur brillance me réchauffe et me donne l'envie de continué a chercher

Mais toi , toi qui croie savoir est ce que tu comprend
est ce que tu comprend que ces perles sont uniques
qu'elle ne se partage pratiquement pas
qu'elle sont visible que de toi que de soi

ces perles sont si précieuse
que nul or et joyau ne pourrons les acheter
je te parle des ces perles que l'on ne ramassent que lorsque l'on est heureux
elle n'apparaissent qu'un instant juste au moment ou le bonheur s'enfuit

oui je collectionne les perles de ma vie
jalousement et pourtant en ayant le besoin impérieux de les montrée
voila fils comprend ce que dit ton vieux père
La vie n'est pas toujours heureuse mais collectionne
les perles de joie et de bonheurs

et comme moi quant pour toi sonnera l'heure
tu saura que dans la vie il y a des gens qui ont des parurent et que d'autre n'en aurons qu'une seul mais elle sera si rare
qu'alors elle sera le phare de leur vie

Requiem " a lire en écoutant freze de das ich"

reflet de l'âme en ce moment
ou tes larme de vie s'écoule
carmin sur ivoire le pianiste joue
son dernier requiem sa dernière note

pourquoi vivre si le son n'est plus
comment continue i l'inspiration ni ai plus
accordant son âme a sa vie qui s'enfuis
accordant cet instant a cet dernière mélodie

il a voyager de gamme en arpège
et la il commence une triste sérénade
sous la douce musique de la pluie
et quant la dernière note tombe enfin

alors dans un rêve ininterrompu
il s'envole enfin
un dernier kwack , une dernière fausse note
le sol emplis de sa sève , le pianiste est mort

Autiste de son plein grés

Hurlement dans les oreilles
comme un cris a l'agonie
d'une âme désœuvrée cherchant un refuge
une douceur un instant pour ce reposez

mes larmes coulent sans trop comprendre pourquoi
mes yeux pleure mais je ne sais toujours pour qui
je ne sais même pas ce qui m'arrive
je t'entend mais je ne te voie pas

autiste de mon plein grés
je regarde ce monde que je hais
je fui pour ne pas voir la vérité
pour ne pas être responsable des mes actes

je fuis cette réalité qui m'observe
qui me rappelle a chaque instant que je suis un lâche
incapable d'exprimer ce que je ressent ,mes rêves , mes envie
et toi pleine de compassion tu me regarde

tendre et pleine de générosité
tu me regarde et tu croix comprendre
mais tu n'y ai pas , tu n'y sera jamais
je suis un eternel insatisfait
incapable de me contenter de ce que la vie m'offre

Pour toi belladone

Une nuit , une lune malade
un cris d'effroi , les lames dance
dans une symphonie morbide
elles frappe pour ce faire plaisir

elles dance et chante la gloire de son désir
elle qui sait le poids de la trahison
la cyclope dance pour ce venger
de ce que l'homme peut être cruelle

coupable du pire ou victime du plus injuste
elle n'est pas celle que l'on croix
la vengeance ne dance que pour l'élus qui la cherche
la vengeance d'un monde pourri par lui même

géante au bras d'acier au cœur de pierre
ou douce amazone au seins doux
démones de la guerre ou amante dévouée
non vous êtes aveugle

mais moi je la voie comme un rayon de mort
douce comme le dernier souffle
douce comme la vie qui s'écoule enfin d'un vieillard mourant
non moi je la poétise pour l'honoré

je la raconte pour la vivre
belladone plante mortel , poison violant
ou plante rare qui soigne des malédictions
ignares vous la juger mais vous ne savez en rien qui elle est.

Chevalier si point ne l’être

Enkil tu parle sans savoir
ne dit jamais de mal de la dame de vertu
ne dit jamais de mal de la dame de douleur
tu y risque plus que tu ne le croix

je ne suis pas un serpent ni une salamandre
je suis l'enfant bannis et déchus
je suis le rejeton oublier de ces pauvre rayon hivernaux
celui qui conte la fin d'un monde

celui qui apporte la prophétie
celui qui regardera même mort mais pourtant si vivant
je conterai aussi ta déchéance ainsi que celle de ceux qui servent aveuglement
je conterai aussi comment tu es mort au chant du déshonneur

ou alors que les masque tomberons
tu comprendra combien tu n'était qu'un jouez
combien le cavalier et le fou ne sont en rien compatible
tu ne sera pas mon zanzi mais bien jarnaque

enfin le coup du berger et en place
avance toi pion fernal et hourry ont déjà un coup de retard
le chat miaule mais ne griffe pas et les arbres ne chante plus ils dorment
moi je vous regarde des bas font de votre humanité fort de ne pas être comme vous

car moi jamais on ne me calcule
Leçon de vie

les larmes ne sont en rien un trésor
certaines les font pleuvoir sur un ordre
mais d'autre sont si précieuse
que même les rois n'en possèdent pas

hier je t'ai voler une larme
de celle que l'on garde jalousement
une de ces larmes de culpabilité qui ne sèche jamais
une de ces larmes que seul l'âme peut faire coulée

Je suis un bourreau , un maitre de tristesse
un exigeant maitre qui demande mais qui aussi donne sans cesse
Tu es l'élève méritantes qui se doit de donné et de comprendre
une fleur qui à l'aube enfin s'éveille

Comme une lune blafarde , morne est sans vie
je te regarde vieillir comme le font toute chose
Comme une lune claire , pleine de sourire
je te regarde dormir et rêver de demain

Ta vie si simplement compliquée petite
n'est en rien une raison
Si ton cœur et gros est plein de larmes
alors pleure et garde toujours la première en souvenir
de ce maitre a grandir

pierre de lune

pourquoi avoir éteint la lumière
pourquoi ne plus voir
je suis aveugle par envie
vivre dans ce noir m'obsède

cette envie de mélancolie
de vivre cette tristesse constructrice
qui enfin liber mes mains et mon imaginaire
de cette prison de réalité qui me tue

Je vie enfin , de retour dans cette univers
gris et froid mais tellement plus simple et doux
mes yeux sont fatigué de ces couleurs
trop présentes, trop vives ,trop fausses

telle un souverain de retour dans son royaume
je retrouve mon trône de solitude
les oreilles emplis de ces sons distordant et envoutant
le cœur alléger par mes délires manuscrites

je le doit à la pierre de lune
pierre du cœur, jumelle de terre
ton cœur mort et mon âme desséchée
se retrouve pour une fraternité minéral et symphonique

dans un concerto de mélancolie
les deux ne sont pas fusionnelle ni passionnelle
mais eternel et spirituelle
la vieille terre se raconte
et la lune l'écoute pleurante de sa trop longue solitude.

A vous saigneur du peuple

Toi qui porte les masque ténébreux de la confusion
toi qui porte le masque de la trahison
soit disant demi dieu , on l'est ou on ne l'est pas
des bas font nous autre voyons

enfin la lumière dans les ténèbres se faufile
ni les dieux ni les seigneurs ne peuvent l'en empêcher
car nous sommes l'armée solitaire des rebus de votre inhumanité
nous sommes ceux qui savent combien les lois ne sont pas pour eux

la fragrance de vos carcasse emplis nos ruelles
de vos immonde relent d'intrigue
les légions des seigneurs marche sur le monde
mais ce n'est que pour mieux disparaitre

car telle les taupes , nous creuseront sous vos pied
nous creuseront dans vos âmes le chemin de la liberté
ainsi le monde des visages claires verra sont apogée
ni dieux ni maitre tous unis dans une seul vérité
l'homme crée les dieux et les dieux détruisent les hommes

égoïsme

j'ai connus un petit prince
j'ai connu un renard
comme eux j'ai été apprivoisé
comme eux j'ai souffert

Une présence manquante
un sourire qui s'efface de ma mémoire
les trait doux d'un visage qui s'enfuie
il ne me restent que ces quelque minutes

De ces minutes qui emplissent une journée
alors qu'elles passent si vite
hier ou demain impatiemment je t'attendrez
esclaves de ces textes et de ces paroles manuscrites

Je serai une fois de plus impatient
de voir ton nom sur cet façade informatique
et priez d'avoir le temps de me parler à travers toi
car égoïstement je m'aime a travers toi

Première lune

une clairière abandonnée
deux âmes perdues , égarée
des sentiments trop étranges non identifié
deux êtres trop proche pour s'aimer

Un éclat de lune, une douce lumière bleutée
Elle le regarde impatiente et troublée
Il la regarde émerveillé se dévoilé
pourtant il ne s'aime pas comme des amants

Enlacer sous le clair de brume
elle apprend a donné, elle apprend qui elle est
Un baiser , tendre et enflammer
la ronde des sens qui tournent pour se consumer

Elle veut savoir , il veut offrir
les leçons ne sont pas toujours celle dés écoles
alors dans la tourmentes des caresses
leur corps et cœur s'affolent

Elle découvre et lui enseigne
Elle hurle , il sourit
Elle verse une larme , il la couvre
Son voile d'innocence n'est plus

Mais elle ne regrette rien
car entre l'amour et le désir
entre les sentiments et la passion
Il y a un monde , elle veut savoir alors elle a choisi
d'apprendre avec lui
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pollux
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MessageSujet: Re: Les polluxeries   Les polluxeries Icon_minitimeJeu 4 Oct - 15:49

A toi première dame de mon cœur

Douceur du monde
les pleures de tes enfants
sont comme le doux chant d'une fine pluie d'hivers
ton regard triste sur ce qui restent de ton monde

nostalgie des temps passez
tu regarde ce village ou tu as tant ri
tu regarde ces gens qui passent et repassent
ils ne sont rien , rien que des badaud

qui sillonne les rues de ta vie
tu connais tout surtout
tu as connus , l'amour comme la mort
tu me regarde avec tendresse

moi qui ne suis que le fruit du fruit
de toi j'ai tout appris
ce que c'est que souffrir , travailler et aimer
ton regard et le mien ne sont qu'un

Un amour infinie nous lie
tu me parle de la mort alors que tu vie
tu me parle de ces temps ancien cruel mais simple
tu me rappel combien je suis un privilégié

tu me rappel combien la vie est courte
et combien il faut la vivre et l'adoré
tu me dit souvent que tu vas partir
mais mon cœur n'est pas encore prêt a souffrir

ce poème misérable
n'est que pour celle qui comme un fils ma élevé
rien que pour la plus belle femme du monde
rien que pour la mère de ma mère

ivre et heureux de ne plus être

Un voile ce lève devant mon regard blafard
le voile éthylique m'inonde
enfin ces rêves chimérique
enfin partir vers ces délires onirique

Une gorgée de plus , une grand et profonde gorgée
enfin je sombre , enfin je meurt
le vin fruit de la vigne , le vin faiseur de rêve
breuvage qui enivre et qui apaise l'âme

je m'enfonce dans les méandre de la bêtise
je regarde ce monde déformé et bêtement j'en ri
Je hurle mon bonheur d'être malheureux
je sombre et je recherche l'abime

un verre encore un verre
pour assouvir une insatiable soif
un verre mais surement pas le dernier
car ce soir je sombre

n'est il pas plus belle fin
que de ne pas savoir qu'elle arrive
je n'écoute rien ni personne
je roule , un pont , un policier sonne
ma mère ouvre la porte et le tocsin pour moi résonne

A mon amis/es

Le temps passe est tout ne change pas
les cheveux blanchissent , les yeux se ternissement
le temps passe est tout ne change pas
les arbres perdent leurs feuilles et meurt

Mais le temps passe et notre amitié ne change pas
comme une montagne face aux vents
comme le reflux des vagues qui reste incessant
comme la lune tourne autour de la terre

mais qui tourne autour de qui
suis je ta lune ou ton soleil
la est le véritable sens de l'amitié
ne jamais savoir qui as apprivoisé l'autre

Le temps passe mais tout ne change pas
comme l'intensité de nos regard et la douceur de nos mots
comme les larmes qui coulent sur nos jouent quant on pense à l'autre
comme le feu dans nos cœur lors de ces trop rare retrouvaille

mais c'est aussi ca l'amitié , c'est aussi savoir souffrir
pour récolté les perles de bonheur de notre relation platonique
Alors a toi mon amis , mon amie
je te dédie c'est ligne que je t'offre en gage d'amitié

je te les offrent en te demandant pardon
pour toute ces choses que je te dirai un jours
qui te blesserons mais pour ton bien
car un amis ne dit pas tj ce que l'on veut entendre
mais ce qui est de mieux pour soi

règle de 3

Bien nés n'est pas notre credo
nous qui sommes les mal aimé
nous qui sommes les incompris
nous les oublié de nos famille

coincé entre les plus grands et les plus petits
jamais assez grand mais plus assez petit
nos journée sont marqué de phrases assassine
on nous traite de gamin ou de gamine

Regarde ton frère comme exemple
regarde comme le plus petit est adorable
pourquoi ne pas être un nombre paire
pourquoi tj être celui du milieu

avait vous réfléchis avait vous calculer
trois, cinq ou sept quel idée saugrenue
car le veille adage n'as toujours pas changer
celui du milieu est toujours incompris

alors je ne vous demande pas de nous faire un nouveau frère
ni même que l'un d'entre nous ne disparaissent
mais juste un peu de considération et de tendresse
un peu de confiance et gentillesse

nous ne seront jamais comme les autres
car nous vivons dans notre monde
à la recherche de ce jumeaux imaginaire
qui pourrai briser notre solitude intérieur.

Douce lune

belle est douce, reflet du plus pure
froide et terrible , infant de la nuit
entre ces deux extrême tu vit
quant l'homme t'aime tu rougis

dame lune symbole des indécis
de ceux qui croient qu'entre blanc et noir
il existe une belle vie
Moi qui t'aime a t’imaginé je rougis

dame impudique qui dévoile ces charmes
ton effeuillage journalier emplis mes sens
mais jamais longtemps tu ne te dévoile
car tu es aussi une Damoizelle

depuis des siècles tu guides nos famille
depuis des génération nous te vivons
telle une jeune vierge farouche
tu n'en fait qua ta tète

mais jamais nous tes amants tu nous repoussent
Fillette cachée du bien et du mal
adolescentes bien hourry mais in fernal
je te sers dans mes bras comme dans mon cœur

Prisonnier volontaire

Aujourd'hui je me suis constitué prisonnier
je l'ai fait de mon plein grés
je l'ai fait de guetté de cœur
j'ai pris la perpétuité et j'en suis ravis

je suis un criminel , un voleur
Un jour j'ai vu ce joyau sur l'étalage de la vie
et je n'ai pu m'en empêché , j'ai craqué
Je l'ai au début juste convoité

Le temps passa et cela devint mon but
je l'ai fréquenté régulièrement , assidument
je l'ai observé et plus je le connaissez plus ce bijou me plaisez
de fascination je suis tombé en amour

et puis la vie rend a ce qui donne ce qu'il mérite
et ce joyau je l'ai pris , je l'ai voler
pour le garder , l'avoir prêt de moi
aujourd'hui je suis prisonnier de plein grés

aujourd'hui ma perle , mon joyau
je suis prisonnier de ton cœur et fier de l'être
car oui maintenant je suis ton prisonnier
ton amour , ton amant , ton maris

ainsi la vie offrent a tous la chance de trouver
ce que chacun ne peut exprimé
ce qui nous manque a tous et a toutes
simplement une moitié

Paix chimique

La douleur et la tristesse s'enfuie
enfin je voie le bout de ce couloir
noir comme la nuit comme mes cauchemar
le marchand de rêves est passé

idiot que je suis d'un couloir je m'enfuit vers un autre tunnel
ma camisole chimique me donne des ailes
mais telle un esclave si un jour j'oublie
que le maitre est rose et arrondi

alors le cauchemar recommence de pire en pire
cette nouvelle prison je l'ai volontairement choisie
afin de réconforter mes amis ma famille
mais finalement je me sens comme travestis

cachet derrière ces cachets
encore triste de comprendre que je suis dépendant
dépendant du bonheur artificiel cérébrale
mais qui ressemble a un univers carcéral

a toi le marchand de pilule je t'envoie mille merci
je te remercie pour ceux que j'aime
mais je te maudit car maintenant
j'ai la paix au prix de l'oublis

In Some Niak

Le soleil tire sa révérence
et moi je me couche espérant la délivrance
le sommeil salvateur et révélateur
la porte sur mon univers

Un univers ou je suis dieu ou je ne suis rien
Un univers que je tente en vain de plié a ma volonté
mais qui peut modifier ces rêves
Mais ce soir il ne viens pas

Le sommeil me nargue , il passe et repasse
la maison et silencieuse mais je suis électrique
et dans mon lit c'est la panique
je ne sais ce qui se passe j'angoisse

Je jette un œil par la fenêtre et je la regarde
cruel et impérieuse elle est la telle un soleil
resplendissante de sa plus grande clarté
elle est au sommet de sa nudité

La lune est pleine et je ressent son souffle
je traumatise dans mon sommeil
il viens ne reste pas , il s'enfui comme un voleur
je regarde le réveil et je compte les heures

La nuit est passée , elle vas ce coucher
et moi comme un pantin je vais bosser
mais je ne puis lui en vouloir
car elle est quant même une reine de beauté.

Pauvre fou


Ave toi que l'on dit être le roi des cieux
Ave toi qui depuis toujours travail sans cesse
Tu dispense tes bien fait sur cet foutue planète
Tu as mis ce que tu avais de mieux pour lui donnez vie


Tu te lève chaque jour et te couche chaque soir
Sans bronché tu trime à nous réchauffer
Mais n'en a tu pas marre d'être l’esclave de la vie
Voir l'humanité a ce point gaspiller ce que tu lui donne
N'as tu jamais envie de faire la grève de lumière
Pour leur rappeler que sans toi il n'y aurait rien
Juste un jour t'échapper pour les laissez geler
Juste un jour prendre congé
Je te plein, ils ont fait de toi un dieu
Une icone immortel et servile
Alors brille, brillent au plus fort
Rappel leur que ce ne sont que des hommes

Paranoïde

Vertige ascensionnelle
Tremblement de l'épiderme
Mon monde entre en éruption
Dans ce corps qui n'est plus vraiment le mieux
Je me lève le regard fixe
Cherchant ce qui m'attend dans le noir
J’allume les lumières qui ne font que m'aveugler
Mal de tête et mal de mémoire
Je cherche ce qui m'observe
Ce qui me juge dés le réveil
Je suis tendu comme attendant un coup
Je suis perdu je me sens sans défense
Saloperie de pilule qui devait me calmer
C’est bien pire maintenant je suis incapable de m'énerver
Mais je n'ai plus de soupape, plus de repère
Je paranoïde mon monde, je désespère


A mes filles

Chair de ma chaire
trait d'union entre deux imbéciles
donnez la vie est si facile
la faire grandir si compliquée

Il est si facile de faire un enfant
mais si dure de l'éduquer convenablement
mon amour qu'avons nous fait
deux monstres adorable opposé a souhait

de notre premier coup de folie
la nature nous à donné une petite fée
pleine de rêves et artistes doué
au cœur de princesse et au caractère bien trempé

de notre deuxième coup de folie
cette fois ci nous avons reçus un troll
une petite sauvageonne au cœur d'or
pleine de vie , de force et à la tête de bois

l'une brunette au yeux brun
comme l'écorce des chênes
aux yeux de biches et au sourire ravageur
a la taille de guêpe et aux larmes si facile

l'autre blonde comme les blé
au yeux bleu comme les glaciers
énergique et possessive
indépendante et gourmande

merci mon amour entre le blanc et le noir
mon cœur ne vacille pas
il balance d'abord pour toi
et puis deux c'est bien c'est mieux que trois
Elle

Je l'ai croisée à plus d'une reprise
mais jamais elle ne ma prise
je l'ai souvent invité en pensée
mais elle m'as toujours évité

le temps passe est je suis heureux
moi elle s'intéresse a moi et mieux ca vas
je ne la souhaite plus
même si certain jour je n'en peut plus

qu'elle aille voir ailleurs
car lorsque l'on collectionne les perles
on sait qu'il n'y a pas que tu malheur
et alors je siffle comme un merle

je siffle a tous cette phrase
la vie n'est pas dur, c'est le monde qui l'est
alors changeons de monde
je t'invite dans le mien

un monde en noir et blanc
un monde ou rien n'est différent
ou l'incompréhension n'existe plus
mon Babel des âmes

Et si un jour elle viens me dire bonjour
alors sans détoure
je lui dirai combien je suis heureux
heureux qu'elle ne soit pas venus me chercher plus tôt

Dernier voyage

La mort belle est mystérieuse
dame froide sans âme ni conscience
elle grave ton nom dans son calendrier
et rien ne peut y faire

on la considère avec peur ou passion
moi je ne la considère pas
je ne l'oublie pas , je m'en moque
mais la mort s'en fou elle gagne a tout coup

certain voie un couloir de lumière
d'autre y voie leur âme sortir de leur corps
moi je ne voie rien , rien que du vide
la mort n'est en rien un confort

la mort est la fin de tout
âpres il ne restent rien de nous
Je n'espère rien d'elle
ni délivrance , ni compassion

je préfère croire en la vie
même si elle ne nous fait pas de nombreux cadeau
même si parfois mon cœur et gros
j'ai redécouvert que j'avais reçus de l'amour , une famille et des amis

alors jeune gens avant de vouloir la rencontrez
dite vous que la vie est une fleur qui à l'aube de votre vie
n'est pas encore éclose et que le vent du bonheur
ne vous touche pas souvent le cœur

mais toutes choses arrivent avec patience
prenez le temps de vieillir
ne devenez jamais des adultes
tristes , froid oubliant qu'un jour ils ont été des enfants.

Edinburg

Une lune blafarde , les étoiles mourantes
déambulant des les rues noires d'Edinburg
Alcool aimantant ma soulographie délirante
je marche envapper de sueur d'alcool

Je me sens bien , les yeux plein de rêves
éveillé mais endormis , un coup de klaxon
un anglais Guelle on dirai qu'il vomis
une enseigne, un bar , une musique

je rentre déjà bien entamer dans ce pub
je suis la seul belge dans ce quartier mal famé
Les scottishs me regarde et m'écoute
me voila a commander un stout

le patron me sert une énorme Guinness
et la folk mets mon cœur en liesse
la musique m'enfièvre encore plus
les indigènes m'observent et statue.

L'un deux m'interpelle et je répond
il me dit que la France et de la merde
je lui répond que les belge ne sont pas des cons
il m'attaque a la bière, alors que je suis déjà rond

le duel s'engage lui entourez de ces barbares
un duel éthylique qui ne connaitra pas fin tragique
je le tue grâce a leur bière sans bulle
mais je dépose une gerbe sur la reine mère dans la rue

puis dans un cris de défis un anglions me crie
"Gods save de Queen" et cour vers moi pour me frapper
Insulte suprême de ce quartier mais amis scottishs
le fracasse a grand coup de pied et de "William wallas"

je reviens enfin de ce monde de fou
ou toutes les nuits sont pareille
de ce monde ou un héros et une reine
s'affronte dans les arène urbaine d'Edinburg

Sweet ethilik dream

Le navire se met a dock et le port s'ouvre a moi
28 jours avec un seul pots , une envie de voir
un taxi quittez ce port et c'est sinistres ennuis
Il fait chaud , la nuit sera chaude et nous aussi

Une petite rade , une placette et le son du Fuego
Des fruits , du résina et des bougies
La faim la soif nous tiraillent
manger , rire et boire pour oublier la mer

Pour 25 billets on pillent le restaurant
ensuite ce sont les bars et les danseuses
la fièvre de la rade nous emportent
les cocktail coule a flots en vase ou en pots

un réveil brutal au sot d'eau
je suis dans mon lit comment suis je arrivez ici
mon pote est mort , il a vomi
vive les reflexe des soulographie et des taxi

a toi ile de plaisir un jour je reviendrai
je reviendrai en mai quant le touristes est rare
et que sonne le début de l'été
oui belle crête je reviendrai c'est promis
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Les polluxeries
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