World Of Sablon Forum de la Famille Yahia |
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| Les polluxeries | |
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pollux Yahia
Nombre de messages : 291 Age : 47 Localisation : partout et nul part à la fois Date d'inscription : 20/07/2005
| Sujet: Les polluxeries Jeu 4 Oct - 15:42 | |
| Un pti poème balterien
De sueur en suaire de cendre au cendre quant les fils cachés du démons ce réveil quant ces filles battent la campagne
deux sueurs en suaire voile morbide sur un monde le glossaire du gloissoir en deuil le mots courage est recouvert d'un linceul
Jamais cheval n'as été si peu fringuant Jamais la lune n'a versé autant de sang alors que le reptile se faufile entre les maille du filet la douce dame pleure ces bien aimé
Que de sueurs et de suaires Le noir et le blanc ne se marie qu'en gris grise la souris qui joue avec le chat grise la toge des enfants de minuit.
A toutes les dames
Il est un temps ou la raison du corps surpasse le dégout de l'âme ou un doux parfum ne plais plus car le corps a faim
je ne suis pas de ceux qui sente le coquelicot mais bien de ceux qui laisse derrière eux l'odeur des femmes heureuses et celle de ces petites ruelles perdue
je ne me lasserai jamais de leur offrir ce que leur maris trop nanti ne peuvent fournir ce que tout mendiant peut donner et que jamais l'argent ne pourra apporter
ainsi damoiselles et donzelles sachez que pollux sera votre serviteur contre quelque piécettes mon Vit vous apportera le bonheur
Penny
On dit que l'argent n'as pas d'odeur On dit aussi qu'il ne fait en rien le bonheur moi j'ai la chance de ne pas en avoir ainsi je sens et je suis heureux
Mais lorsque une jolie piécette tombe dans mon escarcelle aussi tôt je m'empresse de l'avaler car je sais que les releveur de taxe vont passer ainsi quant ma digestion est terminée mon argent est bien prêt
Alors ils sente c'est messieurs bien propre sur eux que l'argent a une odeur de merde quant il viens des démunis Qu'ils auront sept ans de bonheur a avoir toucher mon brun et quant ils râlent je leur répond que c'est pour leur bien
maintenant l'argent ne manque qu'aux pauvre qui n'en on jamais de trop mais aussi aux riches n'en on jamais assez moi je suis riche de ma verve ainsi que de ma verge
Mon Sherry
Au vins et spiritueux en moi tu laisse un plaisir gracieux toi je te loue de ton mon cœur car quant je te consomme je suis dans les fleur
Alcool breuvage divin qui transforme les moches et les affreuses en donzelles peut vertueuses Grace a toi je ne vois ni leur laideur et ne ressent ni leur odeur
Au pinard je t'aime bien Car quant je fait trop le con le lendemain je ne me souviens de rien et dans mes soulographie
je vous le dit je suis ravis dieu et maitre sans un sous tu transforme les caniveau en lit douillet et chaud
Tisane n°15
Au toi breuvage divin Prière de la dame du matin Porteur de songe et de révélation Au dame de la nuit voici ta chanson
De l'esprit de l'eau j'en extrait la pureté De l'esprit des chants , les meilleur grains du chambellan De l'esprit du feu, le crachin des salamandres et de la l'air les vapeur délétère
Alors que l'homme mort attend l'au-delà Le vin des dieux coulent entre ces lèvres Le phœnix déploie ces ailes et ramène l'âme errante et dans un souffle brulant le mourant et vivant
Mais le pèlerin sait que l'eau de la vie ne se boit pas que quant la mort viens mais aussi pour donner le courage d'avancer de donnez la force jusqu'a sa divinité
Oh dame de levant et du couchant Nous louons ton présent Oh Souris entre deux mondes ton nectar ne sera jamais source de honte
Hymne d'un amour impossible
Loin des yeux loin du cœur mais rien ni fait ce n'est pas une peur que de savoir que la distance n'y ai pour rien mais nos regard , le souffle de nos mains ces petit gestes invisible qui marque nos esprit et lie nos cœur
Furtivité d'un regard comme une seconde le bonheur n'est visible que quant il s'enfuis comme une seconde qui s'écoule et qui rie de te voir vieillir cela n'est peut être rien mais qui sait qui sait ce que l'âme ressent
L'amour , la haine quels sentiments si semblable Je te hais mais je t'aime comment comprendre Le temps me raconte que tout change le temps , les saisons , les hommes , les femmes Changez , se métamorphoser , se déguisez
mentir , fuir et devenir paraitre , sembler , être rien n'est simple je me mens pour mieux me protégé je te ment pour ne pas te blesser mais qui alors c'est la vérité
nul en ce monde ne peut me prendre ma seul et dernière liberté celle de mes rêves qui en mon âmes restent secret libre d'aimer , de hair et de me dire enfin cet vérité qui m'obsède "Mentir n'est pas un péché mais une voie sombre de la personnalité"
Le vrai don
douce lumière d'un claire de lune belle clarté d'un regard soutenus un léger sourire , un frisson Une soudaine envie de fuir mais une curiosité titanesque
d'un revers de la main , il dégage sa nuque d'un revers de la bain il balaie ces premières craintes une chaleur une douceur, un instant jamais une seconde fut aussi délicieuse
lentement il effeuille la rose lentement croquant les belles pommes il se laisse envahir par ce sentiment cet force qui le pousse insatiablement
le baiser se faisant plus fort les yeux fermer refusant de trop voir ne laissant que le tact guider ses gestes c'est alors que le mont de venus s'offre a lui
dans ce léger silence de cette lune claire quant la bouche rencontre le fruit défendu savourant sont jus comme un vin du meilleur millésime il la voie s'envoler , il l'entend partir mais il sait enfin ce que c'est qu'offrir
Collectionneur de perles
Ce n'est pas le nombre qui fait ce n'est pas la taille de la perle qui as de la valeur ce n'est pas sont poids ni même sa nacre non ce n'est que sa rareté
Moi je ne collectionne que certaine perles celle tirée des larmes , du sang et des rire ces perles si rare que seul les initiés peuvent les voir, les ramassées c'est perle si rare que rare sont ceux qui en font des collier
Je les collectionne frénétiquement en espérant jalousement les donnée les montrés a ceux qui savent les voir seul dans ce monde triste est froid seul leur brillance me réchauffe et me donne l'envie de continué a chercher
Mais toi , toi qui croie savoir est ce que tu comprend est ce que tu comprend que ces perles sont uniques qu'elle ne se partage pratiquement pas qu'elle sont visible que de toi que de soi
ces perles sont si précieuse que nul or et joyau ne pourrons les acheter je te parle des ces perles que l'on ne ramassent que lorsque l'on est heureux elle n'apparaissent qu'un instant juste au moment ou le bonheur s'enfuit
oui je collectionne les perles de ma vie jalousement et pourtant en ayant le besoin impérieux de les montrée voila fils comprend ce que dit ton vieux père La vie n'est pas toujours heureuse mais collectionne les perles de joie et de bonheurs
et comme moi quant pour toi sonnera l'heure tu saura que dans la vie il y a des gens qui ont des parurent et que d'autre n'en aurons qu'une seul mais elle sera si rare qu'alors elle sera le phare de leur vie
Requiem " a lire en écoutant freze de das ich"
reflet de l'âme en ce moment ou tes larme de vie s'écoule carmin sur ivoire le pianiste joue son dernier requiem sa dernière note
pourquoi vivre si le son n'est plus comment continue i l'inspiration ni ai plus accordant son âme a sa vie qui s'enfuis accordant cet instant a cet dernière mélodie
il a voyager de gamme en arpège et la il commence une triste sérénade sous la douce musique de la pluie et quant la dernière note tombe enfin
alors dans un rêve ininterrompu il s'envole enfin un dernier kwack , une dernière fausse note le sol emplis de sa sève , le pianiste est mort
Autiste de son plein grés
Hurlement dans les oreilles comme un cris a l'agonie d'une âme désœuvrée cherchant un refuge une douceur un instant pour ce reposez
mes larmes coulent sans trop comprendre pourquoi mes yeux pleure mais je ne sais toujours pour qui je ne sais même pas ce qui m'arrive je t'entend mais je ne te voie pas
autiste de mon plein grés je regarde ce monde que je hais je fui pour ne pas voir la vérité pour ne pas être responsable des mes actes
je fuis cette réalité qui m'observe qui me rappelle a chaque instant que je suis un lâche incapable d'exprimer ce que je ressent ,mes rêves , mes envie et toi pleine de compassion tu me regarde
tendre et pleine de générosité tu me regarde et tu croix comprendre mais tu n'y ai pas , tu n'y sera jamais je suis un eternel insatisfait incapable de me contenter de ce que la vie m'offre
Pour toi belladone
Une nuit , une lune malade un cris d'effroi , les lames dance dans une symphonie morbide elles frappe pour ce faire plaisir
elles dance et chante la gloire de son désir elle qui sait le poids de la trahison la cyclope dance pour ce venger de ce que l'homme peut être cruelle
coupable du pire ou victime du plus injuste elle n'est pas celle que l'on croix la vengeance ne dance que pour l'élus qui la cherche la vengeance d'un monde pourri par lui même
géante au bras d'acier au cœur de pierre ou douce amazone au seins doux démones de la guerre ou amante dévouée non vous êtes aveugle
mais moi je la voie comme un rayon de mort douce comme le dernier souffle douce comme la vie qui s'écoule enfin d'un vieillard mourant non moi je la poétise pour l'honoré
je la raconte pour la vivre belladone plante mortel , poison violant ou plante rare qui soigne des malédictions ignares vous la juger mais vous ne savez en rien qui elle est.
Chevalier si point ne l’être
Enkil tu parle sans savoir ne dit jamais de mal de la dame de vertu ne dit jamais de mal de la dame de douleur tu y risque plus que tu ne le croix
je ne suis pas un serpent ni une salamandre je suis l'enfant bannis et déchus je suis le rejeton oublier de ces pauvre rayon hivernaux celui qui conte la fin d'un monde
celui qui apporte la prophétie celui qui regardera même mort mais pourtant si vivant je conterai aussi ta déchéance ainsi que celle de ceux qui servent aveuglement je conterai aussi comment tu es mort au chant du déshonneur
ou alors que les masque tomberons tu comprendra combien tu n'était qu'un jouez combien le cavalier et le fou ne sont en rien compatible tu ne sera pas mon zanzi mais bien jarnaque
enfin le coup du berger et en place avance toi pion fernal et hourry ont déjà un coup de retard le chat miaule mais ne griffe pas et les arbres ne chante plus ils dorment moi je vous regarde des bas font de votre humanité fort de ne pas être comme vous
car moi jamais on ne me calcule Leçon de vie
les larmes ne sont en rien un trésor certaines les font pleuvoir sur un ordre mais d'autre sont si précieuse que même les rois n'en possèdent pas
hier je t'ai voler une larme de celle que l'on garde jalousement une de ces larmes de culpabilité qui ne sèche jamais une de ces larmes que seul l'âme peut faire coulée
Je suis un bourreau , un maitre de tristesse un exigeant maitre qui demande mais qui aussi donne sans cesse Tu es l'élève méritantes qui se doit de donné et de comprendre une fleur qui à l'aube enfin s'éveille
Comme une lune blafarde , morne est sans vie je te regarde vieillir comme le font toute chose Comme une lune claire , pleine de sourire je te regarde dormir et rêver de demain
Ta vie si simplement compliquée petite n'est en rien une raison Si ton cœur et gros est plein de larmes alors pleure et garde toujours la première en souvenir de ce maitre a grandir
pierre de lune
pourquoi avoir éteint la lumière pourquoi ne plus voir je suis aveugle par envie vivre dans ce noir m'obsède
cette envie de mélancolie de vivre cette tristesse constructrice qui enfin liber mes mains et mon imaginaire de cette prison de réalité qui me tue
Je vie enfin , de retour dans cette univers gris et froid mais tellement plus simple et doux mes yeux sont fatigué de ces couleurs trop présentes, trop vives ,trop fausses
telle un souverain de retour dans son royaume je retrouve mon trône de solitude les oreilles emplis de ces sons distordant et envoutant le cœur alléger par mes délires manuscrites
je le doit à la pierre de lune pierre du cœur, jumelle de terre ton cœur mort et mon âme desséchée se retrouve pour une fraternité minéral et symphonique
dans un concerto de mélancolie les deux ne sont pas fusionnelle ni passionnelle mais eternel et spirituelle la vieille terre se raconte et la lune l'écoute pleurante de sa trop longue solitude.
A vous saigneur du peuple
Toi qui porte les masque ténébreux de la confusion toi qui porte le masque de la trahison soit disant demi dieu , on l'est ou on ne l'est pas des bas font nous autre voyons
enfin la lumière dans les ténèbres se faufile ni les dieux ni les seigneurs ne peuvent l'en empêcher car nous sommes l'armée solitaire des rebus de votre inhumanité nous sommes ceux qui savent combien les lois ne sont pas pour eux
la fragrance de vos carcasse emplis nos ruelles de vos immonde relent d'intrigue les légions des seigneurs marche sur le monde mais ce n'est que pour mieux disparaitre
car telle les taupes , nous creuseront sous vos pied nous creuseront dans vos âmes le chemin de la liberté ainsi le monde des visages claires verra sont apogée ni dieux ni maitre tous unis dans une seul vérité l'homme crée les dieux et les dieux détruisent les hommes
égoïsme
j'ai connus un petit prince j'ai connu un renard comme eux j'ai été apprivoisé comme eux j'ai souffert
Une présence manquante un sourire qui s'efface de ma mémoire les trait doux d'un visage qui s'enfuie il ne me restent que ces quelque minutes
De ces minutes qui emplissent une journée alors qu'elles passent si vite hier ou demain impatiemment je t'attendrez esclaves de ces textes et de ces paroles manuscrites
Je serai une fois de plus impatient de voir ton nom sur cet façade informatique et priez d'avoir le temps de me parler à travers toi car égoïstement je m'aime a travers toi
Première lune
une clairière abandonnée deux âmes perdues , égarée des sentiments trop étranges non identifié deux êtres trop proche pour s'aimer
Un éclat de lune, une douce lumière bleutée Elle le regarde impatiente et troublée Il la regarde émerveillé se dévoilé pourtant il ne s'aime pas comme des amants
Enlacer sous le clair de brume elle apprend a donné, elle apprend qui elle est Un baiser , tendre et enflammer la ronde des sens qui tournent pour se consumer
Elle veut savoir , il veut offrir les leçons ne sont pas toujours celle dés écoles alors dans la tourmentes des caresses leur corps et cœur s'affolent
Elle découvre et lui enseigne Elle hurle , il sourit Elle verse une larme , il la couvre Son voile d'innocence n'est plus
Mais elle ne regrette rien car entre l'amour et le désir entre les sentiments et la passion Il y a un monde , elle veut savoir alors elle a choisi d'apprendre avec lui | |
| | | pollux Yahia
Nombre de messages : 291 Age : 47 Localisation : partout et nul part à la fois Date d'inscription : 20/07/2005
| Sujet: Re: Les polluxeries Jeu 4 Oct - 15:49 | |
| A toi première dame de mon cœur
Douceur du monde les pleures de tes enfants sont comme le doux chant d'une fine pluie d'hivers ton regard triste sur ce qui restent de ton monde
nostalgie des temps passez tu regarde ce village ou tu as tant ri tu regarde ces gens qui passent et repassent ils ne sont rien , rien que des badaud
qui sillonne les rues de ta vie tu connais tout surtout tu as connus , l'amour comme la mort tu me regarde avec tendresse
moi qui ne suis que le fruit du fruit de toi j'ai tout appris ce que c'est que souffrir , travailler et aimer ton regard et le mien ne sont qu'un
Un amour infinie nous lie tu me parle de la mort alors que tu vie tu me parle de ces temps ancien cruel mais simple tu me rappel combien je suis un privilégié
tu me rappel combien la vie est courte et combien il faut la vivre et l'adoré tu me dit souvent que tu vas partir mais mon cœur n'est pas encore prêt a souffrir
ce poème misérable n'est que pour celle qui comme un fils ma élevé rien que pour la plus belle femme du monde rien que pour la mère de ma mère
ivre et heureux de ne plus être
Un voile ce lève devant mon regard blafard le voile éthylique m'inonde enfin ces rêves chimérique enfin partir vers ces délires onirique
Une gorgée de plus , une grand et profonde gorgée enfin je sombre , enfin je meurt le vin fruit de la vigne , le vin faiseur de rêve breuvage qui enivre et qui apaise l'âme
je m'enfonce dans les méandre de la bêtise je regarde ce monde déformé et bêtement j'en ri Je hurle mon bonheur d'être malheureux je sombre et je recherche l'abime
un verre encore un verre pour assouvir une insatiable soif un verre mais surement pas le dernier car ce soir je sombre
n'est il pas plus belle fin que de ne pas savoir qu'elle arrive je n'écoute rien ni personne je roule , un pont , un policier sonne ma mère ouvre la porte et le tocsin pour moi résonne
A mon amis/es
Le temps passe est tout ne change pas les cheveux blanchissent , les yeux se ternissement le temps passe est tout ne change pas les arbres perdent leurs feuilles et meurt
Mais le temps passe et notre amitié ne change pas comme une montagne face aux vents comme le reflux des vagues qui reste incessant comme la lune tourne autour de la terre
mais qui tourne autour de qui suis je ta lune ou ton soleil la est le véritable sens de l'amitié ne jamais savoir qui as apprivoisé l'autre
Le temps passe mais tout ne change pas comme l'intensité de nos regard et la douceur de nos mots comme les larmes qui coulent sur nos jouent quant on pense à l'autre comme le feu dans nos cœur lors de ces trop rare retrouvaille
mais c'est aussi ca l'amitié , c'est aussi savoir souffrir pour récolté les perles de bonheur de notre relation platonique Alors a toi mon amis , mon amie je te dédie c'est ligne que je t'offre en gage d'amitié
je te les offrent en te demandant pardon pour toute ces choses que je te dirai un jours qui te blesserons mais pour ton bien car un amis ne dit pas tj ce que l'on veut entendre mais ce qui est de mieux pour soi
règle de 3
Bien nés n'est pas notre credo nous qui sommes les mal aimé nous qui sommes les incompris nous les oublié de nos famille
coincé entre les plus grands et les plus petits jamais assez grand mais plus assez petit nos journée sont marqué de phrases assassine on nous traite de gamin ou de gamine
Regarde ton frère comme exemple regarde comme le plus petit est adorable pourquoi ne pas être un nombre paire pourquoi tj être celui du milieu
avait vous réfléchis avait vous calculer trois, cinq ou sept quel idée saugrenue car le veille adage n'as toujours pas changer celui du milieu est toujours incompris
alors je ne vous demande pas de nous faire un nouveau frère ni même que l'un d'entre nous ne disparaissent mais juste un peu de considération et de tendresse un peu de confiance et gentillesse
nous ne seront jamais comme les autres car nous vivons dans notre monde à la recherche de ce jumeaux imaginaire qui pourrai briser notre solitude intérieur.
Douce lune
belle est douce, reflet du plus pure froide et terrible , infant de la nuit entre ces deux extrême tu vit quant l'homme t'aime tu rougis
dame lune symbole des indécis de ceux qui croient qu'entre blanc et noir il existe une belle vie Moi qui t'aime a t’imaginé je rougis
dame impudique qui dévoile ces charmes ton effeuillage journalier emplis mes sens mais jamais longtemps tu ne te dévoile car tu es aussi une Damoizelle
depuis des siècles tu guides nos famille depuis des génération nous te vivons telle une jeune vierge farouche tu n'en fait qua ta tète
mais jamais nous tes amants tu nous repoussent Fillette cachée du bien et du mal adolescentes bien hourry mais in fernal je te sers dans mes bras comme dans mon cœur
Prisonnier volontaire
Aujourd'hui je me suis constitué prisonnier je l'ai fait de mon plein grés je l'ai fait de guetté de cœur j'ai pris la perpétuité et j'en suis ravis
je suis un criminel , un voleur Un jour j'ai vu ce joyau sur l'étalage de la vie et je n'ai pu m'en empêché , j'ai craqué Je l'ai au début juste convoité
Le temps passa et cela devint mon but je l'ai fréquenté régulièrement , assidument je l'ai observé et plus je le connaissez plus ce bijou me plaisez de fascination je suis tombé en amour
et puis la vie rend a ce qui donne ce qu'il mérite et ce joyau je l'ai pris , je l'ai voler pour le garder , l'avoir prêt de moi aujourd'hui je suis prisonnier de plein grés
aujourd'hui ma perle , mon joyau je suis prisonnier de ton cœur et fier de l'être car oui maintenant je suis ton prisonnier ton amour , ton amant , ton maris
ainsi la vie offrent a tous la chance de trouver ce que chacun ne peut exprimé ce qui nous manque a tous et a toutes simplement une moitié
Paix chimique
La douleur et la tristesse s'enfuie enfin je voie le bout de ce couloir noir comme la nuit comme mes cauchemar le marchand de rêves est passé
idiot que je suis d'un couloir je m'enfuit vers un autre tunnel ma camisole chimique me donne des ailes mais telle un esclave si un jour j'oublie que le maitre est rose et arrondi
alors le cauchemar recommence de pire en pire cette nouvelle prison je l'ai volontairement choisie afin de réconforter mes amis ma famille mais finalement je me sens comme travestis
cachet derrière ces cachets encore triste de comprendre que je suis dépendant dépendant du bonheur artificiel cérébrale mais qui ressemble a un univers carcéral
a toi le marchand de pilule je t'envoie mille merci je te remercie pour ceux que j'aime mais je te maudit car maintenant j'ai la paix au prix de l'oublis
In Some Niak
Le soleil tire sa révérence et moi je me couche espérant la délivrance le sommeil salvateur et révélateur la porte sur mon univers
Un univers ou je suis dieu ou je ne suis rien Un univers que je tente en vain de plié a ma volonté mais qui peut modifier ces rêves Mais ce soir il ne viens pas
Le sommeil me nargue , il passe et repasse la maison et silencieuse mais je suis électrique et dans mon lit c'est la panique je ne sais ce qui se passe j'angoisse
Je jette un œil par la fenêtre et je la regarde cruel et impérieuse elle est la telle un soleil resplendissante de sa plus grande clarté elle est au sommet de sa nudité
La lune est pleine et je ressent son souffle je traumatise dans mon sommeil il viens ne reste pas , il s'enfui comme un voleur je regarde le réveil et je compte les heures
La nuit est passée , elle vas ce coucher et moi comme un pantin je vais bosser mais je ne puis lui en vouloir car elle est quant même une reine de beauté.
Pauvre fou
Ave toi que l'on dit être le roi des cieux Ave toi qui depuis toujours travail sans cesse Tu dispense tes bien fait sur cet foutue planète Tu as mis ce que tu avais de mieux pour lui donnez vie
Tu te lève chaque jour et te couche chaque soir Sans bronché tu trime à nous réchauffer Mais n'en a tu pas marre d'être l’esclave de la vie Voir l'humanité a ce point gaspiller ce que tu lui donne N'as tu jamais envie de faire la grève de lumière Pour leur rappeler que sans toi il n'y aurait rien Juste un jour t'échapper pour les laissez geler Juste un jour prendre congé Je te plein, ils ont fait de toi un dieu Une icone immortel et servile Alors brille, brillent au plus fort Rappel leur que ce ne sont que des hommes
Paranoïde
Vertige ascensionnelle Tremblement de l'épiderme Mon monde entre en éruption Dans ce corps qui n'est plus vraiment le mieux Je me lève le regard fixe Cherchant ce qui m'attend dans le noir J’allume les lumières qui ne font que m'aveugler Mal de tête et mal de mémoire Je cherche ce qui m'observe Ce qui me juge dés le réveil Je suis tendu comme attendant un coup Je suis perdu je me sens sans défense Saloperie de pilule qui devait me calmer C’est bien pire maintenant je suis incapable de m'énerver Mais je n'ai plus de soupape, plus de repère Je paranoïde mon monde, je désespère
A mes filles
Chair de ma chaire trait d'union entre deux imbéciles donnez la vie est si facile la faire grandir si compliquée
Il est si facile de faire un enfant mais si dure de l'éduquer convenablement mon amour qu'avons nous fait deux monstres adorable opposé a souhait
de notre premier coup de folie la nature nous à donné une petite fée pleine de rêves et artistes doué au cœur de princesse et au caractère bien trempé
de notre deuxième coup de folie cette fois ci nous avons reçus un troll une petite sauvageonne au cœur d'or pleine de vie , de force et à la tête de bois
l'une brunette au yeux brun comme l'écorce des chênes aux yeux de biches et au sourire ravageur a la taille de guêpe et aux larmes si facile
l'autre blonde comme les blé au yeux bleu comme les glaciers énergique et possessive indépendante et gourmande
merci mon amour entre le blanc et le noir mon cœur ne vacille pas il balance d'abord pour toi et puis deux c'est bien c'est mieux que trois Elle
Je l'ai croisée à plus d'une reprise mais jamais elle ne ma prise je l'ai souvent invité en pensée mais elle m'as toujours évité
le temps passe est je suis heureux moi elle s'intéresse a moi et mieux ca vas je ne la souhaite plus même si certain jour je n'en peut plus
qu'elle aille voir ailleurs car lorsque l'on collectionne les perles on sait qu'il n'y a pas que tu malheur et alors je siffle comme un merle
je siffle a tous cette phrase la vie n'est pas dur, c'est le monde qui l'est alors changeons de monde je t'invite dans le mien
un monde en noir et blanc un monde ou rien n'est différent ou l'incompréhension n'existe plus mon Babel des âmes
Et si un jour elle viens me dire bonjour alors sans détoure je lui dirai combien je suis heureux heureux qu'elle ne soit pas venus me chercher plus tôt
Dernier voyage
La mort belle est mystérieuse dame froide sans âme ni conscience elle grave ton nom dans son calendrier et rien ne peut y faire
on la considère avec peur ou passion moi je ne la considère pas je ne l'oublie pas , je m'en moque mais la mort s'en fou elle gagne a tout coup
certain voie un couloir de lumière d'autre y voie leur âme sortir de leur corps moi je ne voie rien , rien que du vide la mort n'est en rien un confort
la mort est la fin de tout âpres il ne restent rien de nous Je n'espère rien d'elle ni délivrance , ni compassion
je préfère croire en la vie même si elle ne nous fait pas de nombreux cadeau même si parfois mon cœur et gros j'ai redécouvert que j'avais reçus de l'amour , une famille et des amis
alors jeune gens avant de vouloir la rencontrez dite vous que la vie est une fleur qui à l'aube de votre vie n'est pas encore éclose et que le vent du bonheur ne vous touche pas souvent le cœur
mais toutes choses arrivent avec patience prenez le temps de vieillir ne devenez jamais des adultes tristes , froid oubliant qu'un jour ils ont été des enfants.
Edinburg
Une lune blafarde , les étoiles mourantes déambulant des les rues noires d'Edinburg Alcool aimantant ma soulographie délirante je marche envapper de sueur d'alcool
Je me sens bien , les yeux plein de rêves éveillé mais endormis , un coup de klaxon un anglais Guelle on dirai qu'il vomis une enseigne, un bar , une musique
je rentre déjà bien entamer dans ce pub je suis la seul belge dans ce quartier mal famé Les scottishs me regarde et m'écoute me voila a commander un stout
le patron me sert une énorme Guinness et la folk mets mon cœur en liesse la musique m'enfièvre encore plus les indigènes m'observent et statue.
L'un deux m'interpelle et je répond il me dit que la France et de la merde je lui répond que les belge ne sont pas des cons il m'attaque a la bière, alors que je suis déjà rond
le duel s'engage lui entourez de ces barbares un duel éthylique qui ne connaitra pas fin tragique je le tue grâce a leur bière sans bulle mais je dépose une gerbe sur la reine mère dans la rue
puis dans un cris de défis un anglions me crie "Gods save de Queen" et cour vers moi pour me frapper Insulte suprême de ce quartier mais amis scottishs le fracasse a grand coup de pied et de "William wallas"
je reviens enfin de ce monde de fou ou toutes les nuits sont pareille de ce monde ou un héros et une reine s'affronte dans les arène urbaine d'Edinburg
Sweet ethilik dream
Le navire se met a dock et le port s'ouvre a moi 28 jours avec un seul pots , une envie de voir un taxi quittez ce port et c'est sinistres ennuis Il fait chaud , la nuit sera chaude et nous aussi
Une petite rade , une placette et le son du Fuego Des fruits , du résina et des bougies La faim la soif nous tiraillent manger , rire et boire pour oublier la mer
Pour 25 billets on pillent le restaurant ensuite ce sont les bars et les danseuses la fièvre de la rade nous emportent les cocktail coule a flots en vase ou en pots
un réveil brutal au sot d'eau je suis dans mon lit comment suis je arrivez ici mon pote est mort , il a vomi vive les reflexe des soulographie et des taxi
a toi ile de plaisir un jour je reviendrai je reviendrai en mai quant le touristes est rare et que sonne le début de l'été oui belle crête je reviendrai c'est promis | |
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